PLD
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coût constru
m2
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prix m2
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600
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2000
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19,60%
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taille
projet (m2)
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coûts
fixes
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coûts
variables
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TVA
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valorisation
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bénéfice
consortium
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bénéfice additionnel
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50%
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16000
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21100000
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32000000
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10407600
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100800000
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37292400
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0
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0
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20000
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21100000
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42400000
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12446000
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126000000
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50054000
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12761600
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6380800
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24000
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21100000
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52800000
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14484400
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151200000
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62815600
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25523200
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12761600
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28000
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21100000
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63200000
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16522800
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176400000
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75577200
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38284800
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19142400
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33000
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21100000
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76200000
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19070800
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207900000
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91529200
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54236800
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27118400
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28626
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21100000
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64827600
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16841810
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180343800
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77574390
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40281990
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20140995
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mardi 26 juin 2012
Projet de Pole d’Affaires Nogent Baltard : l’heure du bilan
lundi 25 juin 2012
Recherche d'un consensus dans le projet de Pôle d'Affaires Nogent Baltard : poursuite du processus
lundi 7 mai 2012
Recherche d'un consensus dans le projet de Pôle d'Affaires Nogent Baltard : réponse du Maire à la proposition d’une consultation des Nogentais
jeudi 22 mars 2012
Recherche d'un consensus dans le projet de Pôle d'Affaires Nogent Baltard : lettre au Maire suite à son intervention dans le processus
Avant même que les relevés de discussions ne soient tous validés par l’ensemble des participants, le Maire de Nogent a décidé d’« intervenir » en présentant sa version de la chronologie d’un dossier dominé par la communication plutôt que par l’information et la concertation, et d’interrompre le processus pour chercher à imposer son calendrier ainsi que sa réponse aux attentes des requérants et des Nogentais.
Un courrier lui a été adressé pour lui poser plusieurs questions soulevées par cette intervention :
mercredi 1 février 2012
recours contre plusieurs Permis de Construire du Pole d'Affaires Nogent Baltard
En effet, la signature des permis de construire le 7 décembre 2011 marque une poursuite des excès injustifiés déjà dénoncés après la déclaration de projet, avec encore plus de dépassements de hauteurs et de surface entraînant des nuisances esthétiques et fonctionnelles sans contrepartie au titre de l’intérêt général.
Il faut noter qu’aucun recours ne vise la destruction du Parking d’Intérêt Régional, dont une très large majorité de Nogentais s’accorde à penser qu’elle peut permettre une meilleure utilisation du site : cela laisse la possibilité à une renégociation d’aboutir sans bloquer les travaux. Un premier contact a d’ailleurs été établi par deux des requérants pour en étudier le principe : cela devra être suivi de phases d’information et de concertation en direction des Nogentais afin de pallier les manquements répétés de la Municipalité sur ce plan (dès l’appel à projet et y compris pendant l’enquête publique, ce qui a vicié la procédure depuis le départ).
Sur quelles bases un équilibre entre l’intérêt du consortium promoteur et celui des Nogentais peut-il être trouvé ? le principe est simple : les dérogations aux règles d’urbanisme de référence qui s’imposent à tous ne doivent être consenties qu’en échange d’une contribution équitable à l’intérêt général.
Petit rappel en images de l’évolution de l’enveloppe du projet actuel (estimation des ordres de grandeur à partir du cadre financier prévisionnel figurant dans le Contrat de Programme, coûts fixes à 21M, coûts variables à 2000€/m2 + PLD, valorisation à 6300€/m2) :
Le projet présenté en 2008 proposait un équipement public d’une valeur de 7M€, tandis que le bénéfice du consortium promoteur doublait du fait d’un dépassement très important des hauteurs et surfaces autorisées entraînant des nuisances visuelles et fonctionnelles, tout en sous dimensionnant l’offre en parking (à la fois compte tenu de l’offre préexistante et de la demande induite).
Sans entrer dans le détail de la destination ou de la distribution des surfaces, qui appartiennent au consortium promoteur, et en imposant que l’offre en parking soit conforme à la demande induite par rapport à l’existant, il est clair qu’un rapport de 1 à 5 entre le bénéfice de l’un et les retombées vers l’autre ne peut pas être considéré comme équitable : les bénéfices nets correspondant aux surfaces excédant les règles d’urbanisme doivent être partagés également entre le consortium promoteur et les Nogentais (sur l’exemple à 28000m2 38M€, soit 19M€ en direction de chacun).
Des critères d’urbanisme doivent bien sur aussi être respectés, entre autres en fixant un plafond aux hauteurs (en particulier aux abords du Pavillon Baltard et sa « perspective »).
L’enveloppe du projet a encore poursuivi ses dérives pour atteindre 33000m2 dans la version des Permis de Construire, accroissant les déséquilibres au point que le bilan financier est encore plus défavorable à la Ville et aux Nogentais…
Le bruit et l’agitation autour de ce projet ne doivent pas faire perdre de vue l’essentiel : le droit, ainsi que l’intérêt des Nogentais, d’aujourd’hui, et de demain. Après tout, même si la situation financière de Nogent s’est dégradée durant la décennie écoulée, la Ville n’est pas au bord de la faillite, et les Nogentais ne sont pas contraints financièrement de s’imposer une surdensification colossale afin de ne pas avoir à payer ou emprunter pour un équipement public d’une valeur bien moindre que le bénéfice tiré du dépassement des règles d’urbanisme par le consortium promoteur.
mercredi 2 février 2011
Renégociation des conditions de transfert du parc HLM - réponse à la proposition de Valophis
Suite à la proposition de transaction envoyée par Valophis Habitat mi décembre 2010 un petit questionnaire a été diffusé pour faire un point portant sur une année de gestion des HLM par Valophis, sur les attentes des locataires, et permettre aux Nogentais de donner leur avis sur les termes de cette proposition.
La position majoritaire diffère peu entre les requérants, les locataires, et les autres Nogentais : en substance, sont attendus
- des précisions sur la localisation des 48 nouveaux logements (à construire dans un autre quartier, et en respectant l’engagement pris d’inscrire des logements sociaux dans le programme de construction d’Eiffage au pôle du RER A) ,
- des efforts supplémentaires sur les engagements de travaux et d’entretien (qui devront être précisés en montants et en durée), avec des attentes complémentaires formulées à ce sujet (réhabilitation de la façade, entretien et sécurisation du parking du 123, bv de Strasbourg ; engagement sur les niveaux de loyers après réhabilitation ; …) ,
- des précisions sur l’évaluation financière (en particulier nouveau tableau de simulation et hypothèses) afin de pouvoir apprécier la proposition sur le plan de l’écart de valorisation entre le montant proposé et celui estimé par les Domaines,
- la mise en place d’un comité de suivi « qualité » et de contrôle / droit de suite, associant les représentants des locataires et, par souci de transparence, un élu de chaque groupe d’opposition municipale, afin d’éviter certains dysfonctionnements constatés et de contrôler la bonne exécution des engagements pris par Valophis, ou sinon de chercher à y remédier.
Ces attentes sont synthétisées dans la réponse à Valophis Habitat élaborée avec Michel Gilles, qui représente les requérants auprès du Tribunal de Melun.
mercredi 22 décembre 2010
Ouverture de la renégociation des conditions de transfert du parc HLM à Valophis : la politique des petits pas…
En août 2009 un recours a été déposé contre les conditions de transfert de la quasi totalité du parc HLM de Nogent à Valophis (ex OPAC Val-de-Marne) via un bail emphytéotique de 90 ans.
Une pétition signée par plus de deux cent Nogentais à l’automne 2009 a soutenu ce recours, en rappelant que les conditions de désistement étaient l’obtention de garanties de satisfaction des demandes :
- « de renoncer à construire les 48 logements sociaux supplémentaires dans le quartier Nord de Nogent et de les programmer dans un autre quartier de Nogent aujourd'hui exempté de logements sociaux.
- d'exiger de Valophis une nouvelle valorisation (…) » plus respectueuse des intérêts de Nogent et des Nogentais, et reposant sur des hypothèses cohérentes rappelées dans la pétition.
Quatorze mois après le dépôt du recours, un rendez-vous a été proposé en Mairie aux requérants non locataires pour une première concertation sur nos « conditions pour un éventuel désistement ». A la fin de cette discussion du 25 octobre, nous avons demandé que les propositions de Valophis et de la Mairie soient précisées par écrit, y compris les éléments financiers permettant d'évaluer l'équilibre des engagements. La Mairie et Valophis ont répondu que cela pouvait être fait sous deux ou trois semaines, et mi décembre nous est parvenu un courrier rappelant les grandes lignes des évolutions envisagées lors de cette première réunion.
C’est un premier pas, et nous donnons acte de cette prise en compte par Valophis de la légitimité des attentes qui sont exprimées par le recours.
Les termes des évolutions envisagées restent toutefois à préciser :
- concernant le premier point, si le Maire a bien déclaré travailler sur une alternative à la construction de l’immeuble de 48 logements dans le parking du 123 boulevard de Strasbourg, il semblerait (mais rien n’est précisé par écrit) que l’emplacement à l’étude soit rue Théodore Honoré, entre l’école Guy Môquet et le Boulevard de Strasbourg. Situé à 200 m du 123, boulevard de Strasbourg – et donc dans le même secteur scolaire que la grande majorité des HLM de Nogent, peut-on considérer que ces logements sociaux supplémentaires satisferaient à la première demande du recours, d’arrêter la concentration des logements sociaux dans le quartier nord de Nogent ?
- concernant le second point, il a été explicitement demandé au représentant de Valophis le 25 octobre 2010 lors de la réunion en Mairie, de bien vouloir préciser par écrit les contours de leur proposition, notamment les hypothèses de valorisation et de financement – qui seules permettront d’évaluer l’engagement en travaux sur la durée. Deux chiffres seulement ont été avancés dans le courrier de décembre : le premier évaluant à 2M€ le surcoût de construire les 48 logements supplémentaires ailleurs que dans le parking du 123 boulevard de Strasbourg, le second réévaluant le montant des travaux de réhabilitation prévus de 17.9M€ à 24M€ après avoir réalisé « un diagnostic détaillé » (ce qu’ils n’auraient apparemment pas fait avant d’avoir signé le bail).
Nous restons donc dans l’attente d’éléments plus précis qui pourront nous permettre d’apprécier les engagements et l’ampleur de l’effort consenti par Valophis afin de préserver l’intérêt général de Nogent et des Nogentais, et de garantir l’équité de ce transfert sur toute sa durée - sans risquer de se voir retourner à la clôture du bail un patrimoine dévalorisé.
On notera enfin que « l’incertitude juridique qui règne aujourd’hui autour du bail» est invoquée en fin de courrier pour justifier le report des travaux : ce point ne tient pas, le référé-suspension n’ayant pas été accordé, rien ne s’oppose à la tenue par Valophis des engagements auxquels ils se sont soumis par la signature du bail.
Si vous souhaitez nous donner votre avis sur l’évolution du processus de renégociation du transfert des HLM à Valophis, vous pouvez nous faire parvenir vos observations par email ou par courrier, par exemple en nous retournant le coupon-réponse du questionnaire qui sera proposé aux Nogentais en janvier prochain.
mercredi 10 novembre 2010
Pole d'Affaires Nogent Baltard : retour sur l'Enquete Publique
Il ressort clairement qu’en grande majorité les observations des Nogentais sont défavorables au projet proposé, mais on peut noter quelques réponses plutôt positives, même si en général très peu détaillées (lettres 280 et 361, observations sur registre cotes R13, un petit groupe R19 R20 R21 R22 faisant suite à l’appel d’un Conseiller Municipal de la Majorité à ses partisans, R30, R38 – soit au total moins de 2% des réponses).
Le document distribué par les associations, dont l'ADCN, propose plusieurs types de réponses : certaines « fermées » (réponse par adhésion ou pas à une proposition), d’autres « ouvertes » (rédigées en texte libre par chacun).
La répartition des réponses « fermées » est représentée sous forme graphique ci-dessous (cliquer sur l’image pour une version agrandie):
On peut voir que sur les 409 réponses sous cette forme les Nogentais à
- 92.4% refusent les hauteurs excessives dénaturant l’urbanisme de la ville (2.2)
- 91.9% demandent le retour à un projet qui respecte l’identité nogentaise en termes de densité et d’architecture (4.1)
- 89% refusent la densification excessive de ce quartier (2.1)
- 85.3% demandent une offre de stationnement répondant aux besoins réels générés par le projet (4.8)
- 84.4% refusent toutes modification du POS destinées à augmenter la constructibilité de la zone par rapport aux règles d’urbanisme actuelles (3.3)
ou pour les réponses les moins souvent choisies, les Nogentais à
- 57% demandent un projet comportant 30% de logements sociaux (4.6)
- 64.3% contestent les modalités de l’enquête publique : informations erronées notamment les statistiques d’utilisation du parking (1.6)
ce qui reste des taux importants.
mardi 9 novembre 2010
Recours contre le projet de Pôle d'Affaires Nogent Baltard
Le Président de l’ADCN fait partie des cosignataires du recours contre le projet de pôle d’affaire Nogent Baltard, envoyé le 8 novembre 2010.
Pour plus d’informations concernant ce recours, un site internet a été mis en place (http://ciassp.free.fr/).
Communiqué de presse :
Après une enquête publique restée sans effet malgré une mobilisation forte de plus de 500 contributions, un recours contre le projet de pôle d’affaires Nogent Baltard a été préparé et cosigné par des Nogentais de tous horizons.
Si un consensus existe sur la possibilité de mieux valoriser la zone du parking aérien situé à proximité de la gare RER, il n’y a en revanche aucune obligation à subir la loi des intérêts privés pour accepter n’importe quelles dérives irréversibles.
Le cahier des charges de 2007 fixait l’assiette du projet urbain sur une emprise au sol de l’ordre de 11 000 m2 (Ilot Gare-Leclerc et le secteur Avenue de Joinville-Baltard) pour un programme immobilier cible estimé à 14 000 m2 construits.
Avec 28 000 m2, soit un large dépassement des règles d’urbanisme en vigueur, la proposition faite par Eiffage en 2008 assurait le versement de 7 000 000 € à la ville (pour le dépassement du Plafond Légal de Densité) qui finançait la réalisation d’un équipement public (centre de conférence, médiathèque, ou autre).
Les trois ateliers thématiques qui se sont réunis à l'automne 2008 ont abouti à un compromis acceptable par une majorité des participants compte tenu des contraintes initiales, notamment :
· Des hauteurs limitées à 12 mètres devant le pavillon Baltard, et abaissées pour l’Ilot central conduisant à une modification du POS uniquement sur le volume constructible sur l'îlot de la gare RER
· Une perspective Baltard ouverte et visible
· La capacité du parking proposée initialement à environ 500 places, pouvant faire l’objet d’une extension sur l’emprise de la boucle verte
· Des logements sociaux harmonieusement répartis
· Et une offre commerciale appropriée
A aucun moment de ces ateliers n’a été évoqué un quelconque projet immobilier sur la place Sémard ni la suppression des emplacements réservés correspondant, les seuls remparts protégeant une des dernières gares de la ligne historique « Paris-Bastille » et sa petite place.
Aujourd'hui nous déplorons la parodie de concertation avec les Nogentais au travers d’ « Ateliers thématiques » et réunions publiques émaillés de nombreuses tentatives de désinformation, les irrégularités constatées - y compris lors de l’enquête publique : autant de dérives qui nous ont conduit à introduire un recours devant le Tribunal administratif pour interrompre le processus en cours, tout en proposant une renégociation aux parties prenantes, afin d’obtenir un projet respectueux de l’urbanisme de Nogent et de l'intérêt général des Nogentais.
mardi 6 juillet 2010
Projet de pôle RER A : comment en est-on arrivé là?
Eiffage | RATP | la Ville | les Nogentais | |
Apports et Coût | ~24M€ ttc et coût* de construction | terrain locaux | voirie | Architecture « bien vivre » |
Bénéfice | Locaux et Opérations** | locaux | PLD*** |